Je m'appelle Jules Dauclair, enfant de Hébé. J'ai 17 ans et je viens de Paris, Françe. Cela fait 1 an que je suis à la colonie des sangs-mêlés. J'ai plutôt tendance à haïr mon parent divin parce que il m'a abandonné sans aucune pitié . On dit de moi que je suis protecteur, dragueur, fêtard mais aussi sarcastique, grande-gueule, flemmard.

Histoire (en cours)

Vous pensez que c'est simple ? Bien sur que vous le pensez, être un Demi-Dieu c'est génial ? Fantastique ? Féérique ? Extraordinaire ? Vous vous trompez, surement certains y prennent du plaisir, ils ont des pouvoirs inimaginables, un parent divin à leur écoute et un parent mortel vivant et comblé.Tous n'ont pas cette chance, les Dieux sont égoïstes, cruels et narcissiques. Ils n'ont aucune culpabilité à l'idée de jeter leurs enfants à leur sort. Ils passent leur temps à s'amuser, et se divertir, ils ont tout leur temps puisqu'ils sont immortels. Je ne sais pas qui je suis, je ne sais pas ce que je fais ici et je déteste par dessus tout mes parents. L'un des deux à menti, il y a peut-être eu un accident de voiture, mais seul mon parent mortel y a laissé la vie. Mon Père, Ma Mère ? Je n'en sais rien, et j'imagine que je ne ne le saurais jamais, je ne cherche même pas à savoir, je déteste cette vie.



« Ferme les yeux, tais toi, fait le vide. » J'étais décidément tombé bien bas. J'énumerais à haute voix ce que mon cerveau m'ordonnait, une habitude prise à l'âge de six ans pour vaincre le cauchemar qui avait suivi l'accident de voiture, à peine quelques mois que nous avions amenagé au Canada. La douleur ne partit jamais, elle ne fit que me ronger petit à petit. L'orphelinat ne fut pas horrible, adoré de tous, trainant toujours avec des personnages plus âgées, collectionant les amourettes puis les aventures à un âge plus avancé, ce ne fut que ma rencontre avec Avery qui changea réellement le court des choses. Amitié ? Amour ? Amants ? Je ne cherche même plus à comprendre, je sais seulement que je serai dans l'incapacité totale de la laissé tomber. Bien évidemment je feins de voir son attachement, ses joues poupres quand je lui fais un compliment. Il n'y a pas qu'elle, de nombreuses furent prêtes à sacrifier beaucoup pour ma tête ou pire pour mon corps, les repoussant ou non selon mes humeurs j'évite d'en parler à Avery, elle ne comprendrait pas.



Avery me parlait toujours de choses étranges, inexplicables qui se déroulaient autour d'elle. Elle voyait des monstres, certainement lié àcun manque d'affection ou un traumatisme. Je m'abstenais de tout commentaire, sentant qu'elle avait besoin de parler. Enfin, avant de la retrouver en larmes face à une dryade. La créature eut juste le temps de lever la main sur elle que je la pulvérisai à mains nues. La suite fut longue et pénible. Colonie, Bungalow douze, Demi-Dieux, ... Puis plus rien. Je sais très bien que je ne pouvais pas rester, mais Avery m'emêcher de partir, à chaque tentative d'évocation de départ, elle changeait immédiatement de sujet.