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 の LES ARMES.

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L'Olympe
L'Olympe
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MessageSujet: の LES ARMES.   の LES ARMES. EmptyLun 20 Fév - 20:20



Ceci est une liste non-exhaustive de diverses armes ayant fait leur apparition dans des mythes, des légendes et des contes anciens que les dieux possédaient ou dont ils ont don fait aux mortels à travers les époques, ou encore que des héros détenaient et utilisaient par le passé. Aujourd’hui, elles se retrouvent dans les mains de nos chers sang-mêlés.

Certaines ont des caractéristiques magiques comme celles de n’apparaître sous leur forme complète qu’après une certaine action (l’arme peut être un stylo, comme Anaklusmos de Percy Jackson, qui ne devient épée que lorsqu’il est débouché), ce qui est relativement pratique pour éviter de transporter son arme à tout bout de champ, qui peut être très lourde. Les armes peuvent aussi réapparaître dans la poche de leur utilisateur au bout d’un certain temps. Faites preuve d’originalité ce qui concerne ces particularités qui sont propres à chaque arme !

Les armes sont forgées le plus souvent par les cyclopes en matériaux célestes de manière à ne pas blesser les mortels, uniquement les créatures et les demi-dieux. Ces derniers peuvent être blessés par tous types d’armes. Elles peuvent être trempées dans les eaux d’un des fleuves des Enfers pour des pouvoirs accrus.

A noter : les dieux et déesses n’ont pas forcément donné de leurs propres mains les armes aux sangs-mêlés, au contraire, il est très rare que cela arrive, plus rare encore que le fait rencontrer son parent divin. D'ailleurs, un dieu ou une déesse peut aussi donner une arme à un enfant qui n’est pas le sien : Athéna peut offrir à un enfant d’Iris. Hypnos à un enfant de Déméter, et ainsi de suite. Parfois, des créatures enchanteresses fournissent des armes lorsqu’ils découvrent des demi-dieux afin qu’ils puissent se défendre durant leur route jusqu’au Camp. Toutefois, les armes sont entreposées dans l’Armoirie, et c’est à leur première arrivée à la Colonie que les sangs-mêlés prennent le plus souvent connaissance de l’arme qui leur correspond le mieux. Les enfants d’Héphaïstos préfèrent parfois forger leur propre arme, ou en créer une à la demande d’un sang-mêlé qui n’aurait pas trouvé l’arme idéale.

Il n’est en aucun cas obligatoire de prendre une arme proposée ci-dessous, c’est juste pour ceux qui seraient en panne d’imagination. C’est même conseillé, si vous avez déjà une idée derrière la tête. De plus, notez bien que vous ne pouvez pas avoir l'arc d'Apollon en personne ! Ce serait alors une copie.

Il est bien évidemment possible et même recommandé d’inventer l’arme de votre personnage, la façon par laquelle il a obtenu. Un même personnage n’a pas forcément la même arme durant toute sa vie, tenez en compte ! Il est possible qu’elle se brise ou se perde dans une quête par exemple.

FORMULAIRE A REMPLIR ET A POSTER A LA SUITE :

の NOM&PRENOM :
の AGE :
の PARENT DIVIN :
の NOM DE L’ARME :
の TYPE D’ARME :
の COPIE OU ORIGINAL ?
の COMMENT A-T-IL OBTENU L’ARME ?
の ANCIEN PROPRIETAIRE :
の DESCRIPTION PHYSIQUE : (en quelques mots)
の DESCRIPTION DES POUVOIRS&PARTICULARITES : (en deux lignes minimum)
の EN QUOI CORRESPOND-ELLE À VOTRE PERSONNAGE ?

Code:
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Dernière édition par L'Olympe le Mar 21 Fév - 11:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: の LES ARMES.   の LES ARMES. EmptyLun 20 Fév - 20:23




Ω arcs.


の ARC D’APOLLON (01/01)
の ARC D’ARTEMIS (01/01)


Les arcs d'Apollon et d’Artémis, pouvaient entraîner la mort mais aussi la famine et peste. Ensemble, les dieux jumeaux, pour punir Niobé qui avait défié leur mère Léto, massacrèrent de leurs flèches ses nombreux enfants, les Niobides.

Il est bien évidemment impossible d’obtenir cette arme qui est jusqu’à présent en la possession du dieu des arts. En revanche, les arcs sont des armes privilégiées des Apollons en règle générale qui se plaît quelques fois à en offrir à sa progéniture sang-mêlée. Ces arcs de sa création sont les plus précis et possèdent la plus lointaine portée de toute l’Olympe. Il en est de même pour Artémis qui n’hésite pas à en laisser à d’éventuelles demi-déesses qu’elle juge intéressantes pour devenir Chasseresses par le futur. Ces arcs sont fins et d’argent à l’instar des flèches et requièrent un entraînement intense et régulier afin de pouvoir les manier de façon acceptable. Il nécessite également que son possesseur soit très pointilleux, d’un calme imperturbable au combat et aie un œil de lynx car une petite brise peut faire dévier la flèche de sa trajectoire.

の ARC D’EROS (02/02)

L'arc d’Eros, fils d’Aphrodite et d’Arès, pouvait provoquer l'amour ou la haine de la première personne rencontrée après avoir été touché. Les flèches utilisées étaient de plomb (désamour) ou d'or (amour).

Il est bien évidemment impossible d’obtenir cette arme qui est jusqu’à présent en la possession du dieu de l’amour. Néanmoins, des arcs semblables peuvent se retrouver entre les mains des sangs-mêlés par l’intermédiaire d’Eros lui-même. C’est une arme de choix pour les enfants d’Aphrodite, qui allie grâce et efficacité au combat, mais aussi pour les enfants de Tyché, la déesse de la destinée. Ces arcs sont faits de frêne avec des flèches provoquant des sentiments comparables à ceux de l’arc d’Eros, mais avec des effets de durée limitée et des dégâts corporels réduits. Cela en fait tout de même une arme plutôt puissante ayant une influence considérable sur le combat.

の ARC D’ULYSSE (01/01)

L'arc d'Ulysse, était maniable par lui-seul. Pénélope, épouse d’Ulysse, annonça à ses prétendants qui la pressèrent de choisir un nouvel époux alors qu’Ulysse était absent depuis fort longtemps, qu'elle consentira à épouser celui qui sera capable de bander l'arc de son époux et d'envoyer une flèche traverser douze haches alignées, comme le faisait Ulysse. Ulysse, déguisé, massacra de ses flèches à la suite les Prétendants qui sommaient Pénélope de choisir l'un d'entre eux et qui pillaient sa maison chaque jour.

L’arc d’Ulysse est entreposé dans l’Armoirie depuis des siècles, et jusqu’à présent, personne n’a réussi à le manier correctement. D’une puissance ravageuse, son utilisateur est certain de procurer des dommages considérables à quiconque se mettant sur sa route, capable de briser tous les corps du corps et de travers un mur de béton. C’est un arc ordinaire en apparence, de bois d’ébène, avec une doublure en argent à la poignée. Il est indestructible, et il est impossible à quiconque mis à part son utilisateur de l’utiliser. Des rumeurs racontent qu’un enfant d’Athéna ou d’Hermès serait peut-être le bon, Ulysse étant le protégé de la déesse de la sagesse, et Hermès l’ayant aidé dans son périple.

の ARC D’HERACLES (01/01)

Trempées dans le sang de l'Hydre de Lerne, les flèches d'Héracles étaient mortelles. Durant ses douze travaux, Héraclès lança une flèche contre le centaure Élatos, mais cette flèche traversa le bras d'Élatos et termina sa course dans le genou de Chiron, involontairement, qui n’était pas encore le directeur des activités du camp à l’époque. Etant immortel, don de Zeus, il survécut mais en garda une douleur qui s’atténua au cours des siècles.

Entreposés à l’Armoirie, l’arc et ses flèches mortelles sont gardés jalousement par Chiron qui est quelque peu réticent à l’idée de confier une arme qui l’aurait tué s’il n’était pas immortel. D’un demi-cercle parfait, l’arme ne doit pas être en main de n’importe qui, et il est dont préférable de n’utiliser les fameuses flèches empoisonnées qu’en cas de dernier recours. C’est une arme dont les Déméter, pacifistes, ou les Apollon, ont tout intérêt à utiliser si ils désirent imprégner les flèches d’un quelconque onguent. En effet, l’arc a la capacité de décupler les pouvoirs et les effets dévastateurs ou guérisseurs de la substance en question.

の ARC DE PÂRIS (01/01)

L'arc de Pâris donna la mort à Achille, mais on dit que la flèche fut dirigée par Apollon jusqu'au talon d'Achille, seul endroit où il était vulnérable.
Cet arc est béni par Apollon, mais ses capacités sont réelles. En effet, le plus ignorant peut lancer une flèche à l’opposé de son ennemi en étant sur qu’elle atteigne la cible désirée. Cependant cet objet ne peut se passer d’un entraînement important car au bout d’un certain nombre de tirs aléatoires, la flèche se retourne contre son utilisateur s’il ne maîtrise par l’arc. Celui-ci a également une particularité : il cherche le point sensible de l’ennemi. Plus de flèches seront lancées, plus proche du point faible la flèche sera. C’est donc un atout de choix dans un combat, et les victimes sont le plus souvent très mal en point après un seul tir, car étant judicieusement placé. Les enfants de Niké rêvent d’obtenir cette arme qui leur procurerait une victoire absolue à leur sens.

の ARC DE PHILOCTETE (01/01)

Philoctète avait reçu l'arc d'Hercule, après la mort de ce dernier et les devins avaient indiqué que Troie ne pouvait être prise sans l'arc et les flèches de Philoctète. Or celui-ci gravement blessé avait été abandonné sur l'île de Ténédos. Ulysse et Néoptolème (fils d’Achille) vinrent le chercher et le firent soigner par Machaon et Podalirios, médecins des grecs. Il tua Paris avec ses flèches.

Cet arc est de fer noir et est particulièrement long et épais. Sa caractéristique notable est le fait que les flèches utilisées peuvent s’adapter sans problèmes à la victime, et ainsi qu’il n’est nullement besoin de passer d’une flèche d’un matériau céleste à un matériau terrestre pour tuer un mortel ou une créature. Manier cette arme requiert une grande aisance dans les mouvements de son utilisateur qui peut par mégarde tuer des innocents s’il ne fait pas attention. L’arme est de même très lourde mais si l’on tend l’arc dans son sens inverse, elle se replie sur elle-même et devient une simple breloque qu’il est facile de porter au poignet. Les enfants de Némésis sont étrangement attirés par cette arme, qui est insufflée de justice contre le meurtrier d’Achille, Pâris, ce dernier ayant tué le héros à l’aide d’un arc.

Ω épées.


の ALMACE (01/01)

L’Almace fut l'épée de Turpin, fils de Niké, évêque de Reims et compagnon de Charlemagne. Turpin se battit jusqu’au bout pour ses convictions. La lame de l'Almace reflète la personnalité de son utilisateur, changeant d’apparence selon celui qui al tient en main. Sur Turpin elle était en acier bruni avec une poignée d’argent. Elle a la capacité d’être indestructible au combat.

の ANGURVA (01/01)

Angurva fut l'épée magique de Frithjof, le « faiseur de paix ». Son nom signifie « le ruisseau de l'angoisse ». Longue, fine et d’argent, elle porte des runes sur sa lame qui brillent fortement en temps de guerre et moins en temps de paix. C’est une arme qui intéresse grandement les enfants d’Arès, le dieu ayant été son possesseur il y a fort longtemps.

の ANSWERRER (01/01)

Answerrer signifie « Le Répondant ». Épée de Mannan Mac Lir, un dieu Celtique dont Athéna prenait l’apparence, qui était alors la gardienne de l'île de Man. C’est une très grande, menaçante et épaisse épée de bronze sertie d’émeraudes qui est pourtant légère à son utilisateur si cette épée lui correspond réellement. C’est une épée dont le tranchant varie en fonction de l’intention du demi-dieu qui l’utilise, pouvant à peine effleurer comme trancher la gorge de l’ennemi, avec la même force utilisée. Cela peut se révéler comme un avantage en cas de torture et de menace, mais aussi un inconvénient si l’on a peur de tuer mais qu’il n’y a pas d’autre choix.

の ASCALON (01/01)

Ascalon, épée de Saint Georges, un noble enfant d’Hébé. La cité Silcha en Libye fut autrefois terrorisée par un redoutable dragon qui dévore tous les animaux de la contrée et exigea des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort. Georges arriva le jour où le sort tomba sur la fille du roi, au moment où celle-ci allait être victime du monstre. Georges engagea avec le dragon un combat acharné et le transperce finalement de son épée.

の AZOTH (01/01)

Azoth, l’épée de Paracelse qui abrite un esprit. Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim dit Paracelse, fut un médecin alchimiste suisse du XVIe siècle fils d’Apollon. Lors d’une quête, il reçu cette épée d’Hadès qui en fit son protégé. Il est dit que cette épée contient dans son pommeau la Pierre des Sages qui donnerait aux hommes des pouvoirs fantastiques, des magies d’une vieillesse d’une puissance dépassant l’imagination, permettant même de vaincre la vieillesse et la mort… Cette épée est aujourd’hui en possession d’Hadès qui la récupéra à la mort de l’alchimiste. Les secrets de cette épée sont encore obscurs, et attirent les convoitises des enfants d’Hébé qui tentent de les percer à jour.

の BAPTISM (01/01)

Baptism fut l'une des trois épées du géant Fier-à-bras. Elle fut forgée par Ansias, un demi-dieu fils d’Héphaïstos qui mit trois ans à la fabriquer.

の CALADBOLG (01/01)

Caladbolg, épées magique de Fergus Mac Roeg, enfant d’Hermès. Son nom signifie « dur tranchant ». C'est une épée de lumière qui infligeait des blessures mortelles à ses ennemis, ce pourquoi on l'appelle aussi Claíomh Solais, ce qui signifie « épée de lumière » en irlandais. Elle fut amenée par les Tuatha Dé Danann, le peuple de Dana qui fut protégé de Tyché et constitue l'un de leurs trésors. Il est dit que cette épée dorée a une valeur inestimable et qu’elle serait capable d’acheter un continent à elle seule, sa puissance et son apparence combinés. Malgré les combats et les siècles, pas une rayure est visible, elle est aussi neuve qu’au premier jour, et toujours aussi étincelante.

の COLADA (01/01)

Colada, la deuxième épée du Cid, un simple mortel espagnol avec un courage ayant attiré l’attention des dieux. C’est une épée d’acier avec une poignée élaborée et complexe, avec une la lame est gravée de motifs anciens.

の COURTAIN (01/01)

Courtain fut une des deux épées d'Ogier de Danemarche, un héros Danois enfant de Niké. Elles furent forgées par Héphaïstos, sous l’apparence de Munifican qui mit trois ans à les fabriquer. Ces épée ont été conçues dans un but tel qu’elles restent fragiles et peu productives si l’on ne porte qu’un seul coup car étant d’une maniabilité exceptionnelle leur permettant de porter aisément plusieurs coups d’affilé : c’est ce qui consiste leur force première et déstabilise ainsi les adversaires.

の COURTOISE (01/01)

Courtoise était l’épée de Guillaume II, comte d'Angoulême. Guillaume, fils d’Aphrodite, qui portait un sabre d'un acier très tranchant, fendit le corps d'un chef viking par moitié, d'un seul coup de son épée. C’est une épée très puissante qui vient contredire la réputation des enfants d’Aphrodite qui sont en règle générale peu doués en combats car étant peu intéressés.

の CURTANA (01/01)

Curtana est l'épée d'Édouard le Confesseur, roi d'Angleterre, dont sa mère, Emma de Normandie, qui était une enfant de Némésis, lui a fait don. C'est une épée de cérémonie sans pointe portée par les rois d'Angleterre pour rendre justice. Elle possède des capacités magiques telles qu’elle peut être relativement performante lors d’un combat « justifié ». C’est-à-dire, un combat dont l’ennemi est en faute. L’épée alors produit une décharge d’énergie qui ronge l’adversaire de l’intérieur, la culpabilité et les torts accumulés.

の DAINSLEIF (01/01)

Dáinsleif, l'épée maléfique du roi Hedin, fils de Poséidon, forgée par les cyclopes. Elle ne manquait jamais sa cible et les blessures qu'elle causait guérissent difficilement. Elle devait causer la mort d'un homme, que cela soit l’adversaire ou un spectateur, chaque fois qu'elle est dégainée. Aujourd’hui, cette épée dangereuse est gardée précieusement au fond des mers par Poséidon et sous haute surveillance. Celui-ci se plaît toutefois à en demander des copies conformes à ses enfants cyclopes, en nettement moins mortelles, pour en donner à ses descendants demi-dieux, ou même à d’autres personnes. Elles ont pour compensation la particularité de décupler les pouvoirs de son utilisateur, à condition que le combat se déroule dans un lieu à proximité de quelconque source d’eau.

の DURANDAL (01/01)

Durandal, l'épée de Roland, un chevalier Franc, chargé de défendre la frontière de la France contre les Bretons, et neveu de Charlemagne. Elle fut forgée par Héphaïstos sous l’apparence de Munifican qui mit 3 ans à la fabriquer, qui forgea aussi Courtain et Sauvagine. Roland fut un mortel glorifié avec beaucoup de prestige qui suscita l’intérêt des dieux. Ainsi, Hermès vola cette épée pour la déposer dans la chambre du chevalier, qui en fit usage dans tous ses combats. La légende dit que Roland ait tenté de casser l’épée sur un rocher pour qu'elle ne tombe pas aux mains des Sarrasins, mais c'est le rocher qui se brisa, ouvrant la Brèche de Roland, dans les Pyrénées, à la limite entre la France et l’Espagne.

の DYRNWYN (01/01)

Dyrnwyn fut l'épée de Rhydderch Hael, enfant d’Hébé. Si tiré, il flambait avec le feu ; si tiré par un digne homme, le feu l'aidait dans sa cause, mais son feu brûlait l'homme qui l'a dessiné pour un but indigne. Dyrnwyn était également un de Treize trésors de l'île de la Grande-Bretagne. Un charme a été moulé dessus pour le protéger contre l'abus. Un avertissement a ainsi été gravé sur la gaine : « Dessinez Dyrnwyn, seulement thou de sang royal, à la règle avec la justice, pour frapper en bas du mal. Qu’il l’utilise dans la bonne cause massacrera même le seigneur de la mort. » L’avantage premier de cette arme, conservée à l’armoirie, est donc qu’elle ne peut être utilisée par un ennemi. Elle possède également pour particularité de toujours revenir se planter à côté de son utilisateur, lors que l’on manque son coup.

の EPEE DE DAMOCLES (01/01)

L'épée de Damoclès, maintenue simplement par un crin de cheval au-dessus de la tête de Damoclès. Denys l'Ancien, tyran de Syracuse, vivait dans un château cerné d’une fosse et sans cesse sous la surveillance de nombreux gardes. Denys, qui était toujours inquiet, se trouva des courtisans qui devaient le flatter et le rassurer. Parmi eux, Damoclès, roi des orfèvres, ne cessait de flatter son maître sur la chance qu’il avait d’être le tyran de Syracuse. Agacé, celui-ci lui proposa de prendre sa place le temps d’une journée. Au milieu du festin, Damoclès leva la tête et s’aperçut qu’une épée était suspendue au-dessus de lui, et n’était retenue que par un crin du cheval de Denys, donc Hadès fut à l’origine. Ainsi Hadès montra à Damoclès que le rôle de tyran possédait deux faces, c'était à la fois un sentiment de puissance et le risque d'une « mort » pouvant frapper à tout moment Denys.

C’est une épée qui a la possibilité de surprendre son adversaire, avec des facultés exceptionnelles. Si elle est lancée de façon précise, elle peut se retrouver, après un lancer qui, dit-on, peut atteindre l’Olympe, suspendue perpendiculairement au dessus de la tête de l’adversaire, le prenant par surprise, et au bout d’une minute, lui transperce la tête, de haut en bas, avec le sifflement d’un obus. Mortelle, en cas d’inattention, il est facile d’y rester, mais ce uniquement si le demi-dieu utilisant l’épée est d’une précision exceptionnelle à un millimètre. Il faut également tenir en facteur le vent, le temps, la compassion des dieux. De plus, pour que le coup marche, il suffit pour cela de rester le temps du lancer à la même place, sans bouger. De règle générale, l’épée atteint seulement l’épaule, si l’ennemi est de taille humaine, ou bien ne lui fait qu’une grande frayeur qui le déstabilise. Les cyclopes et autres créatures de taille plus grande sont en revanche nettement plus susceptibles de mourir à cette attaque, leur temps de réaction étant moins développé. Les enfants d’Hadès sont souvent intéressés par cette épée, lors de leur arrivée à la colonie, mais n’ont souvent pas la précision propre aux Apollon pour pouvoir l’utiliser correctement, ce qui fait qu’elle est depuis tout ce temps dans l’Armoirie…

の EPEE DE GALAHAD (01/01)

L'épée de Galahad, l'épée forgée par Salomon dont Némésis avait pris l’apparence, pour le « Bon Chevalier ». En attendant sa venue, elle a été placée dans la Nef de Salomon. Le pommeau était d’une seule pierre qui avait toutes les couleurs de la terre, et chacune de ces couleurs avait sa vertu. La poignée était faite de deux côtes : l’une du serpent nommé papaguste qui vit Célidoine et qui a ce don que l’on ne sent jamais une trop grande chaleur lorsqu’on serre un des os dans sa main, quelle que soit l’ardeur du soleil ou du feu ; la seconde côte était d’un petit poisson nommé Ottonax qui habite dans le fleuve Euphrate et dont la vertu est telle : qui tient un de ses os oublie toute joie ou douleur passée, et se souvient seulement de la raison qu'il a eue de le prendre. L’épée est entièrement gravée en glyphe rouge sang sur le pommeau et sur la lame: « Je suis merveilleuse à voir, plus merveilleuse à connaître, car nul ne me peut empoigner, pour grande que fut sa main, hormis celui à qui je suis destinée. » Cette épée est aujourd’hui en possession de Némésis, qui la garde jalousement, et attend le bon héros pour en donner des copies similaires.

の EPEE DE NUADA(01/01)

Cette épée fut en possession de Nuada, un dieu celtique dont Zeus prenait l’apparence. Elle fait partie des cinq talismans apportés par les Tuatha Dé Danann en Irlande. D'après la légende, elle pouvait trancher le fer et l'acier, elle était infaillible et ses blessures étaient mortelles. Elle luisait en permanence d'une lueur blanche. Il est impossible d’obtenir cette épée d’un tranchant à en faire frémir les dieux, mais des copies conformes, moins puissantes néanmoins, sont régulièrement offertes par eux-mêmes.

の FLORENCE (01/01)

Florence fut l'une des trois épées du géant Fier-à-bras. Elle fut forgée par Ansias, un demi-dieu fils d’Héphaïstos qui mit trois ans à la fabriquer.

の GRABAN (01/01)

Graban fut l'une des trois épées du géant Fier-à-bras. Elle fut forgée par Ansias, un demi-dieu fils d’Héphaïstos qui mit trois ans à la fabriquer.


の HAUTECLAIRE (01/01)

HauteClaire, l'épée d'Olivier le Daim, compagnon de Roland. Les dieux ont en effet souvent été près de l’entourage de Charlemagne comme son neveu, Roland.

HauteClaire aurait auparavant appartenu à un empereur romain, fils d’Hécate, qui l'aurait égarée dans les bois. Lorsqu'elle fut retrouvée par des paysans de nombreuses années plus tard, ceux-ci l'auraient remise à Pépin le Bref, lequel en aurait fait cadeau au comte Beuve, qui l'aurait revendue à un habitant de Vienne. Enfin, un descendant de ce dernier en aurait fait cadeau à Olivier. Quoique l’on puisse en penser, cette épée ne serait pas venue aux mains d’Olivier le Daim et n’aurait certainement pas fait ce trajet sans un petit coup de pouce d’Hécate, qui avait la volonté d’aider Roland. Elle est en acier bruni avec un cristal incrusté dans une poignée d'or.

の JOYEUSE (01/01)

Joyeuse fut l'épée de Charlemagne qui était un simple mortel particulièrement apprécié des dieux et avait les faveurs d’Iris, la déesse des arcs en ciel. Les dieux ont en effet souvent été près de l’entourage de Charlemagne, comme son neveu, Roland, ou de Turpin, son compagnon, qui est le fils de Niké. Cette épée, Joyeuse, fut donc offerte par Iris par l’intermédiaire du demi-demi Turpin, ainsi, jamais Charlemagne ne sut réellement l’auteure d’origine de ce présent. Son pommeau porte en lui de nombreuses reliques, dont des signes en grec ancien si entremêlés qu’ils n’ont jamais pu être déchiffrés. Cette épée fut utilisée durant les sacres des rois de France et avait dit-on un éclat, tel qu'elle aveuglait ses ennemis. De plus son possesseur ne peut être empoisonné. Elle contient, dans son pommeau, un morceau de la sainte lance.

の KUSANAGI (01/01)

Kusanagi-no-tsurugi, épée légendaire du Trésor impérial du Japon confiée par Déméter sous la forme d’Amaterasu à un de ses petits-enfants, Ninigi. Elle fut l'une des trois reliques sacrées de la légitimité du trône impérial du Japon féodal et de l'empire du Japon jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est une épée de l'âge de bronze à double tranchant, courte et droite - ce qui la différencie totalement du style des sabres japonais, qui ont des lames courbes à un seul tranchant. On peut la manier très aisément, à une ou deux mains.

の KATANA DE MASAMUNE (01/01)

Les katanas de Masamune furent forgées au Japon pendant le IXème siècle par les cyclopes à la demande de Némésis, mère de Masamune. Ce sont des lames parfaites pouvant trancher les matières les plus dures comme s’il s’agissait de beurre. Lorsque l'on plante un Masamune dans une rivière, les feuilles mortes emportées par le courant évitent la lame de leur propre chef. Les Masamunes ne sont censées ne tuer que si la cause est juste, et protègent leurs maîtres d’une aura légèrement argentée.

の KATANA DE MURASAMA (01/01)

Les katanas de Murasama, élève de Masamune qui réussi à obtenir les faveurs d’Hadès. Ses katanas étaient imprégnés de force maléfique : lorsqu'on leur faisait subir le test de la rivière identique aux katanas de Masamune, les feuilles mortes venaient se couper sur les lames aiguisées. Les Murasamas tuent à chaque usage, et ont tendance à porter malheur tant à leur propriétaire, qu’à leur adversaire.

の MURGLEIS (01/01)

Murgleis fut l'épée de Ganelon, cousin et compagnon de Roland. Les dieux ont en effet souvent été près de l’entourage de Charlemagne, comme son neveu, Roland, ou de Turpin, son compagnon, qui est le fils de Niké. Cependant, motivé par Hadès pour d’obscures raisons, Ganelon céda à la tentation trahit à la Bataille de Roncevaux. Ganelon crut en effet que Roland voulait sa mort et, désireux de se venger, s'entend secrètement avec Marsile pour qu'il attaque l'arrière-garde de Charlemagne conduite par Roland. Après la mort de son neveu, Charlemagne bat les Sarrasins puis rentre à Aix-la-Chapelle. Charlemagne fait alors juger Ganelon, et Némésis sou apparence humaine se chargea de son sort. Ainsi, il fut relégué dans le Cocyte, le plus grand fleuve des enfers.

Son épée est dotée d’une lame de bronze céleste d’une longueur ajustable à souhait par son utilisateur, allant, dit-on, jusqu’à plus d’un kilomètre, ce qui la rend relativement pratique lorsqu’il est question de porter un coup à un adversaire qui est résigné à ne pas charger. Elle n’en reste pas moins une épée de traitre.

の ORNA (01/01)

Orna n'est pas une arme de guerre à l’origine, sa lame ouvragée est gravée du nom de ses gardiens successifs, de là la légende qui veut qu'elle chante son histoire lorsqu'on la sort de son fourreau. Le Don d'Orna signe la naissance des Fomoires en tant que tels. De nos jours en possession d’un satyre, cette arme évoquant l’art et la musique intéresse les Apollons et les Aphrodite qui sont nombreux à aller la demander à ce satyre un peu trop possessif.

の SAMSAMHA (01/01)

Samsamha était l'épée d’Haroun ar-Rachid, Calife de Bagdad. Il y eut échange de cadeaux et de correspondance entre Hârûn ar-Rachîd et Charlemagne, ce dernier ayant fait présent de l’épée au calife. L’entourage de Charlemagne a été longtemps protégé des dieux, ce qui fait que cette épée lui a été transmise par l’intermédiaire d’Hécate. Elle est aujourd’hui conservée par la déesse de la magie en personne.

の SAUVAIGNE (01/01)

Sauvagine, une des deux épées d'Ogier de Danemarche, un héros Danois enfant de Niké. Elles furent forgées par Héphaïstos, sous l’apparence de Munifican qui mit trois ans à les fabriquer. Ces épée ont été conçues dans un but tel qu’elles restent fragiles et peu productives si l’on ne porte qu’un seul coup car étant d’une maniabilité exceptionnelle leur permettant de porter aisément plusieurs coups d’affilé : c’est ce qui consiste leur force première et déstabilise ainsi les adversaires.

の SZCZERBIEC (01/01)

Szczerbiec a été l'épée de Boleslas Ier de Pologne, un roi dont le père était un satyre. Elle fut traditionnellement employée dans la cérémonie de couronnement de Rois polonais. Son nom signifie « l'épée aux entailles » ou « l'ébréchée » car Boleslas l'utilisa pour frapper les barres de la grande Porte d’Or de Kiev, ce qui causa des entailles à l'épée, d'où son nom. Sa lame est d’un or céleste, et elle arbore des représentations artistiques à sa manche, ainsi que de nombreux joyeux précieux.

Autres idées d’épées :

の EPEE DE VIE (01/01)
の EPEE DE WILLIAM WALLACE (01/01)
の EPEE D’ODIN (01/01)
の EXCALIBUR (01/01)
の FLOBERGE (01/01)
の GALATYN (01/01)
の GRABAN (01/01)
の GRAM (01/01)
の HROTTI (01/01)
の HRUNTING (01/01)
の GALATYN (01/01)
の LEOCHAIN (01/01)
の LOBERA (01/01)
の NAEGLIND (01/01)
の NALFUNDÏR (01/01)
の PRECIEUSE (01/01)
の RIDILL (01/01)
の SKOFNUNG (01/01)
の TYRFING (01/01)


Ω foudre.


の FOUDRE DE ZEUS (01/01)

La Foudre de Zeus est l’arme du dieu tout puissant, fabriquée pour lui par les cyclopes, et possédant trois éclairs : le premier pour avertir, le deuxième pour punir et le troisième, pour la fin des temps.
Seuls quelques rares enfants de Zeus, ou très exceptionnellement des enfants d’autres dieux proches de lui, eurent le privilège d’obtenir une foudre semblable, offerte de la main du dieu des cieux, et non pas sans avoir fait ses preuves, avec une quête ou un combat particulièrement bien menés. Il faut donc posséder auparavant une autre arme. Ce sera la récompense d’une marque de courage et d’une aisance au combat qui se démarque des autres : il s’agit là de l’arme ultime du sang-mêlé. Elle permet de réguler et d’accroître la précision des pouvoirs de son utilisateur, si celui-ci est un enfant de Zeus car les pouvoirs des descendants du dieu de la foudre ne les maîtrisent pas toujours très bien. Une foudre, même en étant une copie moins puissante que celle du dieu, demande un soin extrême car étant fragile, ce qui constitue son énorme point faible. Un coup d’épée peut la désintégrer. Mais elle est littéralement destructrice. Il suffit que le dieu d’allie avec le sang-mêlé pour qu’il n’y ait plus âme qui vive dans les 20km qui entourent le lieu du combat. Il est dit qu’on ne peut l’obtenir sans faire de sacrifices…

Ω lances.


の LANCE D’ACHILLE (01/01)

La lance de frêne d'Achille, que lui seul pouvait soulever et lancer. C'est un présent du centaure Chiron qui est aujourd’hui gardé par lui-même. Le directeur des activités du camp attend en effet patiemment le héros qu’il jugera apte à la manier, ce qui n’est pas une chose aisée car il est préférable que son propriétaire soit un minimum indulgent car cette lance peut être charitable à un ennemi en réparant ses blessures, mais ce à condition que le porteur du coup y consentit. Les enfants de Déméter et d’Hypnos, généralement pacifistes vont souvent demander conseil à Chiron à propos de cette lance qui leur faciliterait le travail. Elle est plutôt utile aux personnes ne désirant pas tuer, mais seulement blesser ou ralentir ses ennemis.

の LANCE D’ATHENA (01/02)

La lance d'Athéna est l’arme fétiche de la déesse de la sagesse. Il est rare de la voir sans son arme d’or qui peut transpercer sans difficulté n’importe quelle matière, sans que l’utilisateur ait particulièrement une force spectaculaire à la base. Cependant, la lance est une arme audacieuse car l’on est facilement vulnérable si l’on manque sa cible, et il faut foncer sans avoir peur des conséquences futures, et faire preuve de sang-froid. Quelques élus d’Athéna ont eu le privilège de se voir accorder une lance plus ou moins similaire en présent, signe de bravoure et de sagesse, ce qui est de loin le présent le plus convoité qu’il est possible de recevoir de la part de la déesse. En effet, il est dit que c’est la lance la plus puissance des cieux, et que celle qu’elle offre frôle la perfection en la matière.

Autres idées de lances :

の GAE BOLGA (01/01)
の GUNGNIR (01/01)



Ω marteaux.


の MJÖLLNIR (01/01)

Mjöllnir, le marteau magique de Thor, dieu du tonnerre de la mythologie germanique dont Zeus prenait l’apparence. C’est un marteau à manche court car lors de sa forge, Hermès vint distraire à la demande de Zeus Héphaïstos. Bien qu’il fut conçu à la base pour le dieu du feu, le dieu de la foudre ordonna à Hermès de la lui porter, fait contre lequel Héphaïstos ne put lutter et ne répliqua pas. En contre partie, il se forgea un marteau d’autant plus puissant et en fit son attribut. Mjöllnir est une arme fabuleuse qui terrassait des champs de bataille à lui seul et démolissait des géants d’un simple effleurement. Sa particularité était qu’elle revenait dans la main de son utilisateur systématiquement lorsqu’il la perdait. Cette arme est détruite lorsque Zeus décida que la foudre était une meilleur arme, mais Héphaïstos se plaît encore à en fabriquer des similaires, moins puissantes mais tout aussi imposante et à en offrir aux cyclopes, voire même aux demi-dieux.

の MARTEAU D’HEPHAÏSTOS (01/01)

Le marteau est l'attribut d'Héphaïstos, et aussi son outil et arme privilégiée. Il fabriqua le sien en réponse à la mésaventure qu’il eut avec le marteau Mjöllnir. Autrefois utilisé pour les combats, il finit par en faire son outil pour forger d’autres armes, l’occupation favorite du dieu des forges, comme l’indique son titre. Ainsi, si un demi-dieu a un jour le privilège d’obtenir une arme similaire, de la main de n’importe quel dieu, il est important de savoir qu’elle est capable de forger plus vite que son ombre, et ce n’est pas une expres​sion(ou presque). C’est un marteau ordinaire et sans caractéristique spéciale au combat, mais attention, le combat, ce n’est pas tout… Un exemple. Dans le cas où un de des camardes du demi-dieu en question aurait une arme brisée, durant un combat… Si il a un petit moment (et une bonne diversion) un peu de feu lui permettra de la remettre comme neuve, en moins de cinq secondes. Autre exemple. Il a fait un trou dans un mur d’acier pour débloquer un passage, mais le monstre qui le poursuit est encombrant… Est-il important de préciser qu’il est possible de le remettre tel qu’il était, en moins de temps qu’il n’en a fallu pour créer le trou ? Quoique l’on puisse en penser, il est très utile d’avoir une arme permettant de forger aussi rapidement. Et l’on ne parle pas de l’efficacité, des caractéristiques et de la durée de vie des objets ainsi fabriqués/ressoudés. Il ne faut jamais sous-estimer le poids de la forge…

Ω trident.


の TRIDENT DE POSEIDON (02/02)

Le trident est l’attribut de Poséidon, dieu de la mer. Il en a notamment fait usage lorsqu’il se disputait une terre avec Athéna, sa nièce, en frappant l'Acropole, d'où il fit sortir une source d'eau salée, tandis Athéna offre à la ville un olivier. Les dieux jugèrent le présent de la déesse plus utile, et lui consacrent la cité, d’où le nom d’Athènes. C’est un évènement qui est à l’origine de la rivalité entre les deux dieux, qui fit même écho jusqu’aux sangs-mêlés. C’est le symbole de sa domination des mers, qui fut forgé par Héphaïstos.

Fourche à trois dents ornée de symboles en or, c’est une arme de choix pour les enfants du dieu des mers et des océans, car il permet de réguler le flux des eaux invoqués par le demi-dieu. Ainsi, en portant un coup décisif avec, il est possible de cause deux fois plus de dommages, si le pouvoir est parfaitement maîtrisé. Arme de fonceurs, d’hommes courageux et dotés d’un sang froid sans failles, l’arme ne peut pas être mise dans les mains de n’importe qui. Comme le corps d’un être humain est constitué d’une grande partie d’eau, un coup judicieusement bien porté peut être tout aussi efficace, causant des maux internes à l’ennemi. Ainsi, pour eux, l’arme peut être utilisée en toutes circonstances, qu’ils soient proche d’une source d’eau ou non. Cette arme est également un moyen de maîtriser son pouvoir, à l’instar de la foudre de Zeus, car ceux-ci étant relativement instables. Les enfants de Poséidon sont privilégiés mais les autres enfants sont tout aussi susceptibles d’acquérir un trident, de la sorte, mais les pouvoirs seront différents en fonction de ceux de son utilisateur. Le dieu des mers

DISCLAIMER = ces descriptions sont basées sur des contes et légendes anciennes, et ont été élaborées par les soins du staff, mais un très grand nombre éléments proviennent de la toile, notamment de « WIKIPEDIA » en ce qui concerne la liste qui est calquée dessus. Les éléments faisant référence aux dieux grecs sont inventés de toute pièce pour les besoins du forum.


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